| Titre : | L'essentiel de la Conjoncture de la filière Ameublement en 2024 et perspectives 2025 |
| Auteurs : | CERC Grand Est ; Made in Grand Est, Auteur |
| Type de document : | Article |
| Editeur : | Paris : CERC - Réseau des Cellules économiques régionales de la construction, 01/06/2025 |
| Format : | 6 p. |
| Langues: | Français |
| Index. décimale : | B420 (Ameublement-Sculpture - Généralités (cuisine, salle de bains)) |
| Mots clés : |
[*] Alternance [*] Ameublement [*] Apprentissage [*] Conjoncture [*] Décoration [*] Devis [*] Emploi [*] Enquête [*] Grand Est [*] Marché [*] Prospective [*] Statistique [*] TPE |
| Résumé : |
La Cellule économique régionale de la construction (CERC) Grand Est a mené, avec le concours financier de Made in Grand Est, une enquête de conjoncture auprès d'un échantillon de 374 entreprises de la filière ameublement, agencement et décoration au second semestre 2024 (52 répondantes).
Les principaux résultats révèlent notamment que l'activité globale des entreprises répondantes a reculé en 2024 par rapport à 2023 (- 14 %, excepté pour les particuliers B to C : + 12 %). Les prévisions pour le 1er semestre 2025 sont également orientées à la baisse (- 21 %, excepté pour les prescripteurs et architectes : + 100 %). Près de la moitié des entreprises réalisent un chiffre d'affaires inférieur à 250 000 euros. L'opinion sur l'évolution des devis au 2nd semestre 2024 reste stable, en raison de la bonne tenue du marché des particuliers. La principale source d'approvisionnements des entreprises provient des revendeurs spécialisés (60 %), suivie par les scieries (23 %), les grossistes (19 %) et les coopératives d'achats (5 %). 63 % des approvisionnements émanent de la région Grand Est. L'effectif moyen des entreprises est de 19 salariés (5 salariés pour le marché des particuliers). Au 1er semestre 2025, les entreprises prévoient un recul des effectifs de - 6 %. Un peu plus d'un quart des entreprises accueillent des salariés en formation (alternants, formations continues, apprentis). Les prévisions sur les effectifs de formation sont à la baisse. La concurrence avec des produits à bas prix (48 %), le manque de visibilité sur la concrétisation des devis (31 %) et le prix des matières premières (25 %) arrivent en tête des principales préoccupations actuelles. |
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