Titre : | Baromètre des TPE - Vague 77 - Octobre 2024 |
Auteurs : | IFOP ; Fiducial |
Type de document : | Article |
Editeur : | Paris : IFOP, 28/10/2024 |
Format : | 43 p. |
Index. décimale : | A310 (Artisanat - Economie de l'artisanat - Statistiques nationales - Généralités) |
Mots clés : |
[*] Conjoncture [*] Crise [*] Embauche [*] Emploi [*] Enquête [*] Financement [*] Fiscalité [*] Métier [*] Politique [*] Prospective [*] Statistique [*] TPE |
Résumé : |
Le 77ème baromètre de conjoncture des TPE a interrogé un échantillon de 1 006 chefs d'entreprises de 0 à 19 salariés, du 16 septembre au 7 octobre 2024, sur la conjoncture en France et dans les entreprises (action d'Emmanuel Macron et du gouvernement, climat général et moral des patrons de TPE, emploi dans les TPE, risque de défaillance).
Seuls 31 % des dirigeants interrogés ont confiance dans les mesures et actions annoncées ou mises en place par le Président de la République et son gouvernement, et 22 % sont optimistes sur le climat général des affaires en France. Pourtant, l'optimisme prédomine encore concernant leur activité (52 %). 19 % ont embauché depuis le 1er juiller, et 15 % ont supprimé un ou plusieurs postes. 84 % des TPE n'ont aucun poste vacant ; en moyenne, on compte 0,3 poste vacant par TPE. 36 % des TPE rencontrent des difficultés financières (- 1 %), dont 18 % des difficultés très importantes (- 1 %). 43 % de celles-ci pourraient être contraintes de déposer le bilan ou cesser leur activité (dont 22 % d'ici à 6 mois). Une deuxième partie de l'étude porte sur l'actualité politique : la nomination de Michel Barnier comme Premier ministre, l'inquiétude vis-à-vis d'une potentielle motion de censure à l'encontre du gouvernement, les sujets sur lesquels doivent œuvrer en priorité le Premier ministre et son gouvernement. 57 % des dirigeants de TPE sont satisfaits de la nomination de Michel Barnier comme Premier ministre. 51 % sont inquiets d'une potentielle motion de censure à l'encontre du gouvernement. Les sujets sur lesquels ils attendent prioritairement une intervention sont le pouvoir d'achat des ménages, la dette française et la sécurité des personnes et des biens. Au plan fiscal, ils estiment prioritaires de réduire les cotisations patronales sur salaire, et les aides sociales pour réduire le déficit. Ils considèrent que les entreprises doivent être plus soutenues que les ménages, qu'il faut réduire les impôts pour soutenir l'activité et la consommation. 44 % des dirigeants craignent un ralentissement de l'activité de leur entreprise dans les mois qui viennent. |
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